La flamme qui me consume ne permet de brûler
Que les brouillons qui te sont destinés
Et les esquisses qui capturent ton âme sans capturer ton coeur
Une flamme vacillante de peur
Ma vision est réduite en cendre
Mes pensées de toi ont une senteur de cigarette
J'espérais que le papier brûlé soit caramel
Mais c'est amer de regret et noir de résignation
Et elle s'effrite comme l'espoir
Et réchauffe comme ta présence
Douce lueur dansante aux creux de mes doigts
Ce serait dangereux de se rapprocher
La seule chose sur laquelle je poserai mes lèvres
Sera encore une fois ce poison qui me consume de l'intérieur
Mais me réconforte tel un confident
À travers toutes ces nuits noires d'encre
Lol premier poème sans rimes parce que j'ai la flemme (ou pour représenter le chaos dans mon esprit, libre a l'interprétation du lecteur)

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