OEIL DU SORCIER

[petit disclaimer voilà, âme sensible partez unu]

Alors que le royaume se relève doucement des épreuves tragiques qu’il a récemment traversées, une nouvelle sensation agite les rues et les places publiques. Le Poulet Braisé la gazette favorite, vient de publier un article exclusif, relayé avec enthousiasme par les crieurs dans chaque coin du pays.

IVAC GORGLOF : LE HÉROS DE NOTRE NATION !

Au cours de l'attaque monstrueuse qui a failli anéantir notre peuple, un homme ordinaire a su se hisser parmi les légendes. Outre notre glorieux protecteur, Zéphyr Celestiano, un autre nom résonne désormais dans les cœurs vladimiriens : celui d’Ivac Gorglof

Par sa force, son courage et son incroyable détermination, cet homme a défié l’adversité et sauvé de nombreuses vies. Mais ce qui rend son histoire encore plus exceptionnelle, c’est l’apparition mystérieuse de pouvoirs magiques chez un simple humain. Ce don inattendu a fait de lui un protecteur inestimable en ces heures sombres.

Lors d’une entrevue exclusive organisée par notre équipe, Ivac a confié avec humilité :

« Grâce à notre seigneur Zéphyr Celestiano, j’ai pu obtenir ces pouvoirs. »

Cette déclaration a captivé les foules, mais ce n’est pas tout. Ivac nous a également montré un bijou extraordinaire, brillant de mille feux, qu’il affirme être à l’origine de ses nouvelles capacités.

Un mystère qui intrigue toute la nation

Ce bijou énigmatique soulève de nombreuses questions. Serait-il possible que notre seigneur Zéphyr Celestiano ait découvert le moyen de conférer des pouvoirs magiques à ceux qui ne sont pas sorciers ? Cette révélation pourrait bouleverser à jamais l’équilibre du royaume et l’histoire même de la magie.

Pour l’heure, Le Poulet Braisé s’engage à enquêter et à vous tenir informés. Suivez nos prochaines parutions hebdomadaires pour découvrir toute la vérité sur cette affaire sensationnel!

Une statue pour honorer Ivac

Enfin, en reconnaissance des actes héroïques d’Ivac Gorglof, les autorités de la "Cité des Vents" ont annoncé la construction imminente d’une statue en son honneur. Elle se tiendra fièrement sur la place centrale, symbolisant la gratitude et l’iration du peuple envers cet homme qui, contre toute attente, s’est dressé pour défendre notre royaume.

Vladimiriens, réjouissez-vous ! Car de tels héros, forgés par l’adversité et guidés par la lumière, prouvent que même dans les ténèbres, l’espoir peut briller plus fort que jamais.  

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L’article du "Poulet Braisé" se terminait par une éloge à Ivac Gorglof, saluant son courage et ses accomplissements héroïques. Pourtant, au-delà des mots officiels et des échos d’iration dans les rues, une autre réalité, bien plus sombre, prenait forme.

La nuit était tombée depuis quelques heures sur la capitale royale, enveloppant ses ruelles pavées d’un voile d’obscurité et de mystère. Dans une petite maison modeste du quartier principal, une famille veillait en silence. Le père, un vieil homme à l’air mourant, reposait dans un fauteuil au centre du salon. Sa peau parcheminée, ses traits tirés et son souffle irrégulier témoignaient d’une souf prolongée. Sa femme, à genoux à ses côtés, lui tenait la main, ses larmes coulant librement sur ses joues. Les enfants, immobiles dans un coin de la pièce, observaient leur père avec une tristesse contenue.

L’atmosphère dans la pièce était pesante, presque irréelle, comme si le temps s’était figé. Le silence fut soudain brisé par un "toc toc" distinct venant de la porte d’entrée. La famille, surprise, échangea des regards inquiets. Après quelques secondes d’hésitation, le plus jeune des enfants s’approcha de la porte et l’entrouvrit avec précaution.

Un homme imposant se tenait devant lui. Il portait un manteau pourpre aux bordures noirâtres, et ses cheveux blonds presque blancs tombaient élégamment jusqu’au bas de son dos. Ses traits étaient parfaits, presque irréels, et ses yeux brillants semblaient transpercer les ténèbres. Derrière lui, deux silhouettes énigmatiques attendaient. L’un des compagnons, vêtu d’un manteau blanc immaculé portait un masque blanc seuls ses cheveux courts et bleus brisant l’harmonie monochrome. L’autre, une femme habillée de gris, arborait également un masque couvrant entièrement son visage, la rendant aussi impénétrable qu’inquiétante.

Face à ces visiteurs étranges, l’enfant, instinctivement, s’inclina profondément, son souffle court :

« Seigneur Celestiano... »

Ces mots résonnèrent dans la maison, attirant immédiatement l’attention des autres membres de la famille. Reconnaissant l’homme, la mère et les enfants s’inclinèrent à leur tour avec révérence. "Zéphyr Celestiano", duc connu pour sa générosité et héro du royaume , était devant eux.

La femme, secouée par une vague d’émotion, se leva et s’approcha de lui avec précipitation :

« Monseigneur Celestiano ! Mon mari Ivac ! Il est malade ! Depuis qu’il a utilisé votre présent, il décline ! Regardez-le ! Il vieillit à vue d’œil ! Je vous en supplie ! Aidez-le ! »

Zéphyr posa une main rassurante sur son épaule et lui adressa un sourire chaleureux, ses paroles empreintes de calme :

« Ne vous inquiétez pas. Je suis justement venu pour aider votre mari. Tout va s’arranger. »

La femme, soulagée, hocha la tête, ses larmes se tarissant peu à peu. Zéphyr se tourna ensuite vers ses deux acolytes et ajouta d’un ton mesuré :

« je vous présente alerchino , et dotore, ils vont m’assister, cela vous dérange t’il si arlechino mene vos enfants dans une autre piece? Nous aurons besoin de calme ici pour soigner votre mari. »

La femme hésita un instant, mais finit par acquiescer. Elle ordonna doucement à ses enfants de suivre la femme masquée, qui leur fit signe d’un geste silencieux. Après un dernier regard inquiet vers leurs parents, les enfants quittèrent la pièce, guidés vers une autre partie de la maison.

Dès que la porte se referma, un silence oppressant s’installa. Zéphyr, toujours debout, tourna légèrement la tête vers dottore et déclara d’une voix froide :

« Nous pouvons commencer. »

L’homme masqué, vêtu de blanc, s’approcha alors du vieil Ivac. D’un mouvement fluide, il sortit un poignard étincelant de sous son manteau. Avant que quiconque puisse réagir, il trancha d’un coup net la gorge de l’homme mourant.

Un gargouillis terrifiant résonna dans la pièce tandis qu’Ivac s’affaissait sur son fauteuil, son sang s’écoulant lentement sur le sol. Sa femme, pétrifiée d’horreur, tenta de crier, mais sa voix fut étouffée avant même qu’elle ne puisse s’échapper. Son crâne se déforma brusquement, comme écrasé par une force invisible. Un craquement écœurant accompagna son effondrement au sol, son visage figé dans une expression de douleur et de peur.

Zéphyr observa la scène sans émotion. Il s’approcha du cadavre de la femme, qu’il retourna négligemment du bout de sa botte, avant de soupirer :

« Un échec. Encore. »

Il se redressa et jeta un regard à dottore :

« odysseus doit déjà avoir fini avec les enfants, sortons… Nous dirons qu’ils ont été attaqués par des criminels ou des monstres. »

L’homme masqué essuya calmement son poignard, tandis que arlerchino, réapparaissait dans la pièce, confirmait silencieusement que les enfants avaient été tués. Ensemble, le trio quitta la maison sans un mot de plus.

Alors qu’ils s’éloignaient dans l’obscurité, une lumière dansante apparut devant eux. Un garde patrouillait, une torche à la main, scrutant les environs. Lorsqu’il reconnut Zéphyr, il se figea. La torche tomba au sol, s’éteignant dans un léger grésillement, tandis que le garde s’agenouillait rapidement :

« Monseigneur ! »

Zéphyr lui adressa un sourire glacial, ses paroles aussi tranchantes que le poignard utilisé plus tôt :

« Des gens sont morts dans cette maison. Brûlez-la et faites er cela pour une attaque criminelle. »*

Le garde acquiesça, se levant pour obéir sans poser de questions. Pendant ce temps, Zéphyr et ses acolytes s’éloignaient, leurs silhouettes disparaissant dans les ténèbres de la capitale.

HRP

voilà donc l'une des inventions les plus importante de Zéphyr "l'oeil du sorcier" un bijou permettant a toute race d'avoir des pouvoirs, mais hors le poste, la version proposer maintenant, est une version améliorée, moins dangereuse ! Même si son utilisation coûte de l'énergie, celle-ci n'entraîne pas jusqu'à la mort

(Dite merci a ita pour le côté genshin impact moi je voulais des injections unu)

bien évidement, l'oeil démoniaque n'est qu'une version commercial, de ce que la famille Celestiano a réussi à atteindre pouvant donner, a ceux étant près a payé énormément, des pouvoirs permanant

!