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ViewerTale - Chapitre 06

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Link Tor 05/25/22
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PDV Chara :

J’observais impuissante Teyu, malgré le fait que ses blessures furent guéris par Papyrus, il semblait encore faible.

Ce dernier était entrain d’installer Teyu dans le canapé, il semblait vraiment inquiet, mais surtout il semblait se sentir vraiment coupable, cela me faisait vraiment mal de voir ce genre d’émotion sur le visage normalement si jovial de se squelette, même quand le pire arrivait il souriait tout le temps.

Je posai une main sur le front de Teyu juste pour m’assurer qu’il allait bien, oubliant alors que je ne pouvais avoir aucun physique avec le monde des vivants.

Mais alors que ma paume fantomatique entre en avec sa peau, son âme à eu comme un sursaut, comme une impulsion de Détermination, et cette impulsion m’emporta dans un endroit que je n'avais pas prévu de ré-explorer pour le moment.

Les souvenirs de Teyu.

Comme le dernier souvenir, la pluie tombait à flot, une pluie dont la fin ne semblait pas arriver de si tôt.

Le lieu par contre était très différent, je faisais face à une petite maison entourée de barrière blanche, en fait il y avait plein d’autre maison semblable, mais pour une raison inconnue, je savais que c’était cette maison qui était importante.

Je traverse la barrière, sans mal car ici aussi je ne suis qu’un fantôme, tout en réfléchissant en quoi cette maison était importante pour Teyu, car ce souvenir avait été si fort qu’il m’avait tiré ici.

J’entra finalement dans la maison, en traversant les murs cela va de soi.

La maison était vraiment dans un état pitoyable, très sale, des toiles d'araignées à tous les coins, le sol recouvert de morceaux de verre à la forme variable et arrondie rappelant parfois le goulot d’une bouteille.

J’arriva dans le salon, même état, là un homme assis dans un vieux fauteuil usé, il regardait la télé tout en buvant dans une petite bouteille fait du même verre que celui qui tapisse le sol.

Cette homme, à la barbe mal rasé, portant un tee-shirt blanc sale et un vieux jean, cette homme ressemblait magré tout à Teyu, même teint pâle, même cheveux noirs, le seul trait qui était assez différent était ses yeux marons terne. C’était sûrement son père.

Je a à côté, et décida de monter à l’étage, là étrangement cela semble un peu plus propre, je me dirigea d'instinct vers une pièce.

C’était une petite chambre, il y avait un lit, une armoir et un bureau, un tapis bleu au sol ainsi que des dessin accrocher au mur représentant un bonhomme vêtus d’une salopette bleu, à casquette rouge et grosse moustache, un petit garçon blond vêtu de vert, ou encore une espèce d’animal bipède bleu à chaussure rouge. C’était surtout du griffonnage, mais après ce que j’ai vu en bas c’était assez mignon de voir encore un peu d'innocence ici.

Je me rendis vite compte que quelqu’un était dans le lit, une personne que je reconnu quasi immédiatement, le mini-Teyu, il semblait légèrement plus agé que dans le dernier souvenir, je dirais 1 ou 2 ans de plus, il semblait dormir paisiblement, mais je ressentais bien du tourment chez lui.

J’attendis un peu pour voir si quelque chose allait se er, je me rendis vite compte que l’ambiance s’assombrit, il devait faire nuit désormais, et paradoxalement à ce moment-là le mini-Teyu sorti du lit, il était déjà habillé d’une chemise bleu pâle et d’un jean.

Sous son lit il prit le caouhet jaune que j’avais déjà vue avant qu’il mit avant de se rendre à son bureau et fit quelque chose assez étrange, il prit l’un des tiroire et l’ouvrit, mais il continua à tirer et à l’agiter jusqu’à le faire sortir, il le posa au sol et prit quelque chose qu’il semble avoir dissimuler, des billets.

Il les rangea rapidement dans sa poche avant de sortir de sa chambre, il ouvrit la porte avec la plus grande attention, descendit les escaliers en évitant soigneusement, certaine marche.

Il semblait faire attention à tout, mais pourquoi faisait t-il cela, et finalement je me rendis compte qu’il faisait exactement comme moi, il fuyait.

Il venait d'enfiler ses chaussure quitta enfin sa maison par la porte d'entrée tout en enfilant sa capuche, je l’observais courir vers le portail des barrières qui entourait l’habitation, je savais bien ce qu’il ressentait à cet instant, il partait pas par plaisir, ni par un désir immuable d’aventure, non, il partait car la vie ici n’était plus possible, ce qui est terrible à vivre, et je le sais bien,surtout que je devais avoir son âge quand j’ai fais la même chose.

Je m'approchai de lui alors qu’il essayait d’ouvrir le portillon, le verrou était simple, mais la rouille semblait avoir rendu l’ouverture compliquée.

Et alors que je le regardais en train s’acharné sur le mécanisme, quelque chose l’éclaira, je me retourna quasiment en même temps que lui, les lumières de l’étage était allumé, une silhouette à la fenêtre qui fixa mini-Teyu avant de partir et que les lumière du rez de chaussée de s’allume.

mini-Teyu se retourna à nouveau vers le portillon, s’acharnant d’avantage pour le déverrouiller, avant de finalement l’ouvrir, mais alors qu’il mit enfin les pieds de l’autre côté une forte voix rauque résonna :

-Teyu ! Reviens immédiatement !

Se tenant dans l’encadrement de la porte, la figure grande et imposante du père de Teyu, je ne voyais de lui que sa silhouette sombre, mais je parvenais tout de même à voir son regard, un regard empli de colère et de haine.

Et alors que je me tourna vers le mini-Teyu, je me rendis compte qu’il était déjà loin, il courait au loin, il courrait vers quelque chose d’étrange que je n'avais jamais vue avant, une espèce de caisse de métal vitrés à multiple roues, cela semblait être une sorte de véhicule.

Il pénétra à l’intérieur du véhicule et je le suivis, il y avait quelques personnes affalées dans des sièges à la couleurs bleuâtres, somnolent à la limite du sommeil, un homme aux teint blafard à grosse cerne et à la barbe de 3 jours tenait fermement une espèce de disque relier aux véhicule, il semblait las, il détourna à peine le regard quand mini-Teyu pénétra dans le véhicule.

Il donna à l’homme les quelques billets qu’il avait pris avant de partir, ce dernier les saisit avant de lui donner un petit ticket en papier vert pâle.

Après cela il se dissimula dans les première place derrière l’homme, et à raison car alors que les portes était sur le point de se refermer, les deux mains du paternel de Teyu les rouvrit de force, il se dirigea lui aussi vers l’homme, et alors qu’il allait pouvoir apercevoir le mini-Teyu une personne le couvris de son manteau et s’installa à côté de lui.

L’homme lança un regard fatigué, vers le père de Teyu et lui dit d’un ton fatigué :

-Soit vous payez pour le trajet, soit vous sortez, j’ai encore 5 arrêts à desservir ce soir, alors grouillez-vous de faire votre choix !

Le père de Teyu ne se fit pas attendre pour lui répondre d’un ton se voulant supérieur et autoritaire, mais qui ne sembla pas plus que sa impressionnez l’homme :

-Je compte pas m’attarder dans ton vieu tas de ferraille, je viens juste récupérer mon merdeux de fils, il portait un vieux caouhet jaune, je l’ai vue monter, ne me mentez pas !

-Oui, il est bien monté dans ce bus…

Je fixa l’homme avec un regard noir, bien évidement qu’il n’allait pas tenir sa langue, il avait déjà l’argent de Teyu, les humains sont quasiment tous pareils, la trahison coule dans leur veines apparament peut importe le monde.

-Mais, il est pas rester, justement en vous voyant il a filé comme à l’anglaise par la porte de derrière.

Là par contre je fus vraiment surprise, pourquoi l’aidait-t-il ?

Le paternel sembla pas croire en ce que lui disait l’homme, alors qu’il allait pousser une gueulante, la personne qui avait dissimuler Teyu l'interpella :

-Mon bon monsieur vous pouvez croire ce cher chauffeur, j’ai bien vu votre p'tiot courir à l’autre bout du véhicule pour partir.

D’un regard noir, le homme observa les autre ager, il se rendit bien vite compte qu’ils étaient à moitier endormie, et qu’il semblait tout sauf attentif, il soupira avant de sortir et de courir le long de la rue, pensant désormais réellement que Teyu était parti dans cet direction.

Le véhicule, qui se nomme apparemment un “bus”, démarre finalement, par une quelconque technologie ou magie qui m’était totalement inconnu, le “chauffeur” lançais quelque regard vers une espèce de miroire suspendu pour s’assurer que le père de Teyu soit hors de vue, il finit par dire dans un soupir :

-C’est bon, tu peux sortir p’tit gars.

L’homme au côté de Teyu retira son manteau qui le dissimulait et l’aida à sortir de sa cachette et à se mettre sur le siège :

-Mer… Mer-ci !

L’homme lui a une main et lui sourit, alors que le conducteur prit à nouveau la parole :

-Ne stresse pas, c’est fini, tout c’est bien é, p’tit gars.

Le mini-Teyu eut un petit sourire, tandis que bus s’arrêta, personnes n’entra, mais plusieurs personnes sortirent dont l’homme au côté de Teyu, il fut remercié par le “chauffeur” alors qu’il ait à côté de lui.

Après environs une trentaine de secondes, les portes se referment et le bus redémarre, il ne restait plus que Teyu et le “chauffeur”.

Mais question me trottait dans l’esprit, pourquoi ce conducteur aidait Teyu ? C’était tout sauf une aide naturelle, cela était manifestement préparé en amont.

Pendant ma réflexion, le décor changea pour laisser place à une rue monochrome et embrumé, je vit le mini-Teyu sortant de ce qui semble être un magasin portant à bout de bras des sac de cours qui semblait vraiment lourd pour lui, il finit par tomber au sol, l’un des sacs qui était tomber avec lui laissa s'échapper quelque conserve, il tenta maladroitement de les rattraper, mais une lui échappa et roula jusqu’aux pied d’une personne, le “chauffeur”, il était entrain de fumé une cigarette alors qu’il ramassa la conserve.

mini-Teyu s’approcha pour récupérer l’objet, mais alors que le “chauffeur” lui tendit, il eut un mouvement de recul en remarquant la cigarette. En observant mieux les bras de mini-Teyu je put constater la présence de multiple petite brûlure ronde

Je serrais des dents comprenant à quel point j’étais loin de savoir ce qu’il avait subi à cette époque.

L’endroit se distord toujours dans la ruelle et cette fois le mini-Teyu était assis aux côtés du chauffeur, mais cette fois il y avait comme des formes spectrales d’eux deux, symbolisant sûrement plusieurs jours ils discutèrent tous les deux. C’était sûrement durant ses discussions que fut établi le plan d’évasion de Teyu.

Quand j'ai réalisé cela, le décor redevient celui du bus. Il se gara devant un arrêt et les portes s’ouvrirent, Teyu se leva et sortit du véhicule, il se tourna vers le “chauffeur” et le salua dans une courbette tout en le remerciant, et à ceci il lui répondit simplement :

-Je n’ai pas grand chose, c’est toi qui à fait le plus gros.

À cela Teyu répondit un sourir, que le “chauffeur” lui rendit en ajoutant un simple :

-Bonne chance, p’tit gars.

Avant que les portes ne se referment et que le véhicule ne reparte.

Teyu l’observa partir, avant de prendre une grande inspiration avant de partir.

Il suivit un chemin bordé de champ de blé, la pleine lune brillait haut dans le ciel dégagé, il dirigea vers une maison au toit rouge vif et aux murs blanc étincelant, il s’approcha la porte et toqua à trois reprise.

Après quelques secondes la porte s’ouvrit révélant une vielle femme, à la peau blanche marqué de plusieurs rides, aux cheveux bouclé grisonnant, une paire de lunnette dissimulant en partis des iris noires comme celle de Teyu, portant une robe de chambre rouge. Elle sembla surprise :

-Teyu, que fais-tu ici ?!

Et pour seul réponse, Teyu lui sauta dans les bras, laissant enfin sortir sous forme de larme toute la tristesse et la souf qu’il retenait jusque là, et ne dit qu’une phrase :

-Mamie, j’ai besoin d’aide.

Et après ses mots, tout devint blanc, la seule chose que je vis ce qu’il semblait être un écran de télé, qui montrait la maison d’où Teyu s’était enfui, son père semblait se faire arrêter, une bande rouge en bas de l’écran affichait un message disant : “Itami Tamashi arrêter et condamné pour maltraitance sur son enfant.”

Tout devint finalement noir, avant que le décor ne redevienne celui du salon des frères squelettes, mais aucuns des deux n’étaients là.

Je tourna mon regard vers Teyu, une couverture avait été installée sur lui - sûrement par Papyrus -, il semblait aller beaucoup mieux, mais son sommeil semblait pas serein.

Il me fallait pas beaucoup de temps pour comprendre, mon entrer dans ses souvenirs lui faisait vivre l’un des miens.

Puis d’un coup il ouvrit les yeux dans une grand inspiration, il se redressa légèrement en se ant une main sur le visage.

-Teyu, ça va ?!

Il se tourna vers moi, légèrement perdu, il finit par me sourire :

-Aussi bien qu’on puisse se sentir après s’être pris un tire de Blaster dans la face, conclue-t-il avec un petit rire.

Il se redressa, il poussa la couverture sur le côté et s'assit, je m'installe à côté de lui :

-J’ai vu certains de tes souvenirs, avouais-je.

-C’était…, hésita-t-il à dire. C’était quel souvenir ?

-Ta fuite.

-C’était juste celui-là, soupira-t-il de soulagement.

-Et toi, tu as bien vu l’un des miens.

-Euh, oui, c’était ta chute dans l’Underground.

-Oh, ok, et tu l'as ressentis comment ?

-Bah tomber pendant environ 5 minutes dans le vide, faut dire que c’est tout sauf reposant.

Je ne put retenir un petit fou rire :

-Et moi qui pensait que t’avais été épargner de la longue chute dans l’Underground, apparemment pas.

Il lâcha juste un petit rire sarcastique, avant de tenter de lever du canapé, mais quelqu’un l'interrompu dans un grand cri surexcité :

-Humain, tu vas bien !

PDV Teyu :

Je leva les yeux en direction de l’étage, d’où semblait venir la voix, mais très vite je vis une silhouette sauter depuis l’étage pour atterrir juste devant moi.

Le visage inquiet du squelette à l’écharpe rouge me fixait droit dans les yeux, avant de commencer à m’inspecter sous tous les angles.

-Tout va bien, tout va bien, Papyrus !, lui dis-je désespérément alors qu'il me tournait dans tous les sens pour être certain que je n’avais plus la moindre blessure.

Il me reposa sur le canapé et s'assit à côté de moi -Chara se décale alors vers le haut du canapé- il avait la tête basse, il jouait avec ses mains et il semblait vraiment hésitant sur ce qu’il voulait dire :

-Humain… Je… Je suis sincèrement désolé.

-Hey, y a pas de mal, ce n’était pas volontaire, pas vrai.

-Oui… mais… J’ai quand même failli te tuer…

-Et alors, ce n'est pas le cas, je suis toujours en vie.

-Je… Je… Je ne sais même pas pourquoi j’ai utilisé mon Blaster ?, commença-t-il au bord des larmes. Il est juste sorti comme ça, je n’ai pas su me contrôler, je… Je suis indigne de devenir un membre de la Garde Royal !

Il finit par fondre en larmes, cela me faisait vraiment mal de le voir dans cet état.

Je lui posa une main sur l’épaule, lui sourit et lui dit :

-Hey, comme je te l’ai dit, je ne suis pas mort, et pourquoi ? C’est bien toi qui m’a ramené et soigné, non ?

-Euh… oui…

-Bah, tu vois, tu m'as sauvé, tu étais inquiet, et t’en n’a pas profité pour me capturer. J’ai beau ne pas te connaitre depuis longtemps, je peux au moins affirmer une chose, Papyrus t’es vraiment une bonne personne.

-Tu… Tu le penses vraiment, dit Papyrus hésitant en chassant quelques larmes.

-Oui, tu es vraiment quelqu’un de formidable Papyrus.

Quand j’eus terminé ma phrase le visage de Papyrus s’illumina :

-Humain, est-ce que se serait une demande d'amitié ?! Tu veux donc devenir mon ami ?

-Si tu le comprends comme ça, oui, bien sûr, répondis-je avec un petit rire que je ne pus retenir face au visage surexcité du squelette.

-Wowie !, s’écria-t-il enjoué. Je me suis enfin fait un ami, Nyeheheh !

J’eu un petit sourire en le voyant à nouveau si enjoué.

Alors, que moi et Papyrus continuons à discuter, un bruit étrange nous interrompit, un bruit de distordus et rapide.

On se tourna tous deux d’un coup vers le son, c’était sans surprise Sans, quelques petites lueurs bleues flottant autour de lui se dissipèrent doucement, surement le signe qu’il s’était téléporter.

-Oh, Sans !, le plus jeune des deux frères en sautant en dehors du canapé pour lui faire face. Tu ne devinera jamais, ce que j’ai fait !

-Euh, tu as capturé l’Humain ?, demanda Sans en sachant parfaitement que non.

-Non, j’ai fait mieux que ça, lui et moi sommes devenus amis !, répond-t-il en me présentant de ses deux bras dans un mouvement extrêmement théâtral.

Je le salua d’un petit geste de main, qui pouvait er extrêmement timide en comparaison à la présentation que m’avait faite le squelette à l’écharpe.

Sans eu une expression rassurer en me voyant, il s’approcha :

-Heureux que t’aille bien, gamin.

Quand il me nomma de la sorte, le sourire à mes lèvres s'élargit légèrement, par ce terme j’avais, je ne sais pourquoi, l’impression qu’il m'acceptait d’une certaine manière dans ce monde.

Par contre, je me rendis compte que son regard ait de moi à une zone à côté de moi à multiple reprise. En détournant légèrement pour voir ce qu'observe Sans, et fut surpris de rencontrer le regard de Chara, elle semblait choquée, elle ne put me dire qu’une chose :

-J’ai l’impression qu’il me voit.

Je tourna mon regard vers Sans, son regard légèrement perturber, mais il fit disparaître cette expression en tournant son attention vers son frère :

-Pap’s, il commence à se faire tard, et le gamin n’a surement nul par où aller ?

-Oh, mais bien sûr, Humain, veux-tu er la nuit chez nous ?, me demanda t-il d’un ton enjoué et surexcité.

-Dit comme ça je ne vois pas comment je pourrais ref., lui répondis-je en lâchant un petit rire amusé.

-Wowie, cria t-il enthousiaste. Je vais de ce pas préparer notre repas de ce soir, Nyeheheh !

Papyrus se précipita vers la cuisine, tandis que son frère s’installe à côté de moi dans le canaper :

-Écoute, gamin, Je… Je suis désolé, finit-il par dire. Jamais je n’aurais cru que Papyrus aurait pu… faire cela…

-C’est peut être pour cela qu’il l’a fait, dis-je d’un air penseur.

-Heins, quoi ?

-Non, rien., me ravissait-je. C’est juste, une vieille hypothèse.

-Une hypothèse sur mon frère ? Quoi donc ?

-Rien, juste tu ne t’es jamais demandé pourquoi souhaite t-il réellement faire parti réellement redre la garde royal ?

-Comme si c’était un mystère., répondit-il en riant. Comme il le dirait lui-même, il veut être populaire et se faire un tas d’amis.

-Selon moi, il veut impressionner quelqu’un, quelqu’un d'important pour lui.

-Qui ça ? Undyne ? Je ne vois pas ce que cela à voir avec son attaque de tout à l'heure.

-Mais, c’est toi Sans, toi, son grand frère, le juge de l’Underground, c’est toi qu’il veut impressionner plus que tout.

Sans resta interdit pendant quelque seconde :

-Quoi ? Moi, cela ne ferait…, il se stoppa en plein milieu de sa phrase.

Il poussa un soupire, et fixa un instant la cuisine où était son frère en train de s'affairer à la cuisine, son sourire constant s'élargit légèrement :

-Comment as tu pu penser à cela ?, me demanda-t-il.

-Sincèrement, répondis-je simplement. J’ai eu comme, un philing, un ressenti, durant vos interactions, durant son combat, j’avais cette impression, comme s’il voulait impressionner quelqu’un de précis et au final cela m’a paru évident que c’était toi.

Le squelette poussa un léger ricanement :

-Hehehe, c’est sûr que c’est plus simple de comprendre des choses en voyant un monde comme un jeu, et ses habitants comme seulement des personnages.

-Je ne vous ai jamais vue que comme des personnages !, l'interrompit-je d’un cri rapide.

Sans et Chara me dévisagent, je baisse la tête, honteux d’avoir réagi de cette manière.

-Dé… Désolé, finis-je par ajouter hésitant.

-C’est pas~ tentaient t-il de me dire avant de se faire interrompre par son frère.

-Hey, sors d’ici tout de suite !, s’écria Papyrus depuis la cuisine. Et rends moi ça !

Divers bruits métalliques variant entre sourd et claire, accompagner de quelque couinement, ainsi de quelque cri de Papyrus qui tentait apparemment désespérément de stopper la chose qui envahit sa cuisine.

Soudainement une petite forme blanche en sort à toute vitesse, puis bondit sur le canapé entre moi et Sans.

C’était petit chiot légèrement rond, au pelage blanc comme neige rendant alors sa truffe et ses yeux noir extrêmement voyant, il tenait dans sa gueule un morceau de viande qui machonnait avec délectation et plaisir.

Cela me prit quelque seconde pour le reconnaitre, faut dire entre sa version pixelisée et ça version réelle il y avait une grande différence, mais finalement je le reconnu, ce petit chien blanc, bien énervant, servant dans le jeu de représentantion de Toby Fox, l’Annoying Dog.

Puis ce fut au tour de Papyrus de jaillir de la cuisine, tenant fermement en main une grande cuillère en bois et avec une casserole maladroitement mise sur son crâne. Il fixa avec un regard noir le chiot, qui se dissimula derrière nous tout en machonnant de manière plus frénétique tout en fixant le squelette cuisinier droit dans les yeux.

Sans, Chara et moi-même, les observions avec un certain amusement le duel de regard de ces deux là.

D’un coup le petit canidé au peulage blanc, avala d’un coup le reste de la viande avant de sauter en dehors du canaper et de retourner en courant vers la cuisinne, surement en piquer un nouveau.

Exaspérer Papyrus couru après lui en agitant sa cuillère en bois en l’air.

-Vas-y, Pap’s., l'encourageait Sans. Montre-lui aussi que toi aussi t’as du mordant.

-SANS !, cria son frère depuis la cuisine. Aide moi au lieu de faire tes horribles blagues.

-ok., lui répondit-il simplement en se téléportant.

-Papyrus tu veux que je te donne un coup de main ?, lui proposais-je.

-Non, Humain, tu es notre invité et on peut gérer ce problème de type canin.

Quelque seconde plus tard Sans réapparue entre l'entrée de la cuisine et la porte d'entrée, en main il tenait quelque biscuit pour chien :

-Hey, petit, t’as faim ?, dit-il en agitant les biscuits pour canidé.

Le chien sortit de la cuisine et dévora du regard les biscuits dans la main du squelette, quand Sans qu’il avait compris qu’il avait capté son attention il ouvrit la porte et y jeta les biscuits.

-Alors, va les chercher !

Le chien courut après et le squelette referma la porte derrière lui.

Je l’observa à travers les fenêtres entrain de dévorer les petits friandises dans la neige, avant de se tourner une autre maison, sûrement pour là-bas aussi essayer de piquer de la nourriture.

Sans revint s'asseoir dans le canapé, tout en invertissant Papyrus que le problème canin était régler.

Après cela, je discutais un peu avec Sans, il me demanda à quoi ressemblait mon monde d’origine, ou encore à quoi ressemblait le jeu qui les contrôlait depuis tout ce temps.

Papyrus arriva, sans sa casserole couvre-chef, avec 3 assiettes pleines de spaghetti, il en donna une à Sans, une à moi et en garda une avant de s’installer, il mit un film à la télé, appelé apparemment Ice-E le Film.

Intérieurement je redoutais le goût, surtout avec la description dans le jeu le décrivant comme “indescriptible”.

Je pris une boucher, et sincèrement c’était assez bon, je continua de manger tranquillement en essayant de trouver une explication à la description du jeu, mais je pense que je le savais déjà, le SCRIPT, qui ne devait pas arriver à retranscrire le ressenti d’un goût, ce qu’il résumait surement par un simple “indescriptible”.

Par contre le film était assez intéressant, quand Papyrus avait nommer le film cela m’avait rappelé quelque chose, Deltarune, Susie en parlait à la fin du Chapitre 2 en le désignant comme un film pour enfant, alors soit elle s’est trompé, soit le film est différent entre ce monde et celui de Deltarune, soit Susie considère un film qui ressemble à ce que pourrait être un film Five Night at Freddy’s est fait pour des enfants - ce qui ne serait pas choquant venant d’elle-, car oui ce film était horrifique avec des Animatronique chassant le cuistot de la pizzeria, ce fut amusé de voir parmi le gang de robot en plus d’Ice-E, un gros chien bleu, un robot ressemblant beaucoup à Pandza, l’animatronique sur lequel j’avais beaucoup travailler dans mon ancien monde.

En dehors du film, je fus amusé de voir Papyrus serrer Sans comme une peluche pour se rassurer, et le fut encore plus en remarquant que Chara se dissimulait derrière moi à plusieurs moment du film. Face à leurs réactions, moi et Sans rions légèrement.

Je ne sais plus quand la soirée à pris fin m’étant endormie.

PDV Sans :

Après avoir ramené un Papyrus à moitié endormi dans sa chambre, je redescendit pour constater que le gamin s’était finalement endormie, assise à quelque centimètre au-dessus du dossier du canapé, Chara l’observait avant de se tourner vers moi.

-Alors tu arrive enfin à me voir, Sans., me dit-elle un sourire au lèvre.

-Ouais, tu as toujours été avec Frisk, pas vrai ?, lui demandais-je tout en installant Teyu dans le canapé avec ma magie bleu et en installant une couverture sur lui.

Elle ne me répondit par un simple signe de tête positif.

-Et tu te souviens de tout ?, lui demandais-je à la fois curieux et inquiet

-En grande partie, mais au bout d’un moment j’ai commencé à oublier les timelines les plus ancienne, je ne sais même plus à quoi ressemble la surface à cette époque.

-Je vois, moi aussi ma mémoire me fait défaut, je suis bien heureux que cela soit fini.

-Moi aussi, malgré ce que cela à coûter.

Quand elle eut dit cela, elle eu un air grave :

-Sans… Frisk… Ce n’est pas Teyu qui l’a tué, c’est moi…Elle m’a demandé que je l’achève.

Je la dévisagea, elle était au bord des larmes.

-Hey, Chara, c’est bon, ce n’est pas ta faute, c’est la faute de personne, oublions le é et tournons nous vers l’avenir.

Elle essuya les quelques larmes qui s’était déjà formé et me sourit :

-Oui, Sans, et je crois en Teyu pour donner à tout le monde un avenir radieux.

-Et moi je ferais en sorte que cela soit réellement tout le monde, pensais-je alors que mon sourire s'élargissait légèrement.

ViewerTale - Chapitre 06-[B]PDV Chara : 

J’observais impuissante Teyu, malgré le fait que ses blessures furent guéris par Pa

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