LA RÉPUBLIQUE DE KATRISBOURG

Naissance de la République :Un Nouveau Monde S'Éveille

Par Le Poulet Braisé, organe de presse katrisbourgeois

Le vent du changement souffle sur le monde. Là où régnait jadis la monarchie absolue de Vladimir, un nouvel ordre s’élève, non plus fondé sur la naissance et le sang, mais sur la volonté du peuple. La prise de la capitale en une heure et la destruction du palais royal ont marqué la fin d’un régime, mais ce n’était que le début d’une transformation bien plus grande : la naissance de la Première République.

Mais comment bâtir une république dans un monde où ce concept n’a jamais existé ? Comment remplacer un trône par un gouvernement du peuple, sans sombrer dans le chaos ? Ces questions, Zéphyr Celestiano et les dirigeants de la révolution y répondent par des réformes profondes et structurées, visant à fonder un État juste, stable et durable.

Un Gouvernement du Peuple, pour le Peuple

La première décision du Conseil Révolutionnaire fut l'abolition immédiate de la monarchie et des privilèges nobiliaires. Plus de trônes, plus d’héritiers désignés par le sang. Désormais, la République se veut être un État du peuple, néanmoins la noblesse n'a pas disparu, l'ancienne noblesse est déchu, les nouveaux seront décidé pour s'occuper de chaque régions, et ville, par l'état lui même

Une Présidente, Un Premier Ministre, Un Gouvernement

À la tête de cette nouvelle ère, Iris Celestiano, première Présidente de la République, incarne l’espoir et l’avenir d’une nation qui refuse d’être enchaînée. Elle n’est pas une souveraine, elle est un symbole, la promesse d’une patrie où chaque citoyen est libre et égal.

Mais c’est sous la direction de Zéphyr Celestiano, Premier Ministre, que la République se forge. Visionnaire et inflexible, il est l’architecte du nouvel ordre, garant de la justice et de la stabilité face aux restes gangrenés de l’ancien régime.

Autour de lui, un gouvernement provisoire a été formé pour assurer la gestion de la République :

Capitano, ministre de la Guerre, veille à la défense du territoire et à la restructuration des forces armées.

Saint, maréchal et ministre de la sécurité, dirige les opérations militaires et incarne la force invincible de la République.

Pantalone, ministre de l’Économie, supervise la refonte du système financier, la répartition des richesses et la reconstruction économique.

Pierro, ministre du Peuple et de l’Information, organise la communication et s’assure du soutien populaire à la République.

Sandrone Garcia, ministre de l’État, gère les affaires d’espionnage et de sécurité stratégique pour protéger le gouvernement des ennemis internes et externes.

Panpone, ministre de la Magie et de la Technomagie, encadre l’innovation et l’usage de la magie pour moderniser le pays.

Odysseus, conseillère d’État, assiste le Premier Ministre dans la rédaction des lois et l’istration du gouvernement.

Mikha, secrétaire général, garantit la transmission efficace des décisions et la bonne gestion istrative.

Melusina Encatadora, secrétaire d'État, et d'armée assure la liaison entre les forces militaires et le gouvernement.

Ce gouvernement provisoire s'est donné pour mission première la rédaction d’une Constitution. Ce texte fondateur, sacré et inaliénable, devra garantir l’égalité de tous devant la loi, empêcher tout retour à la tyrannie et assurer que plus jamais un seul homme ne puisse gouverner par son nom plutôt que par son mérite.

L’heure n’est plus aux rois ni aux dynasties. L’heure est à la République.

La Justice et l’Égalité comme Fondements

Avec la chute de la royauté, le système judiciaire archaïque basé sur le bon vouloir des nobles a été remplacé par un tribunal populaire, où juges et magistrats sont nommés par le Conseil. Les procès arbitraires, la torture et les exécutions sommaires appartiennent désormais au é.

Cependant, la transition ne se fait pas sans heurts. Des aristocrates déchus tentent de fuir, tandis que certains cherchent à fomenter des rébellions. Pour répondre à ces menaces, un Tribunal Révolutionnaire a été instauré, chargé de juger les crimes de l’ancien régime et de punir ceux qui tenteraient de saper les fondations de la République.

Toutefois, Zéphyr Celestiano insiste sur un point : la République ne doit pas être bâtie sur la vengeance. Si des coupables doivent être jugés, la terreur ne doit pas remplacer la tyrannie. C’est ainsi que certains nobles ayant rallié la cause républicaine se voient offrir la citoyenneté à condition de jurer fidélité à la nouvelle ère.

Économie et Reconstruction : Un Peuple à Bâtir

Le renversement d’un royaume laisse toujours derrière lui des ruines, mais celles-ci ne sont que le terreau d’un avenir prospère. Avec l’effondrement du système féodal, les terres autrefois détenues par la noblesse sont redistribuées aux paysans et aux travailleurs. Plus d’impôts arbitraires, plus de corvées imposées par les seigneurs. Désormais, chacun récolte le fruit de son labeur.

L’économie, affaiblie par la guerre, doit être restaurée au plus vite. Sous la direction de Pantalone, les richesses saisies à l’ancienne noblesse sont utilisées pour financer la reconstruction des villes et l’ouverture de nouvelles routes commerciales. Le libre-échange est encouragé, et un système monétaire stable est en cours de création pour remplacer les anciennes devises marquées du sceau royal.

Une Nouvelle Idée : L’Éducation du Peuple

Mais plus encore que l’or ou les lois, c’est le savoir qui doit être le fondement de cette république. Un peuple éclairé est un peuple impossible à asservir. C’est pourquoi un ministère de l’Éducation et des Affaires Sociales est en cours de formation, avec pour objectif de créer les premières écoles accessibles à tous, où l’on enseignera non seulement la lecture et l’écriture, mais aussi l’histoire, les sciences et les principes de gouvernance.

L’idée que chacun puisse apprendre, débattre et comprendre les rouages du pouvoir est une révolution en soi. L’ignorance a toujours été l’outil des tyrans, mais la République entend faire de la connaissance son bouclier le plus solide.

Les Ennemis de la République : Le Dernier Bastion de la Tyrannie

La chute de Vladimir n’était que le premier pas. Le peuple a brisé ses chaînes, renversé les trônes et chassé les tyrans. Aujourd’hui, la République est une réalité, un phare de liberté dans un monde trop longtemps asservi par le sang et l’héritage.

Mais si la République s’élève, ses ennemis rôdent encore dans l’ombre. Ce ne sont plus des rois étrangers ni des puissances lointaines – elles ont compris que l’avenir appartient au peuple et se sont rangées du côté de la révolution. Non, les véritables ennemis sont ceux qui rêvent encore d’un retour à l’ancien monde, tapis dans les ruines du é.

Les Fantômes de la Monarchie : Une Guerre Qui N’est Pas Finie

Le Premier Ministre Zéphyr Celestiano l’a dit et répété : la République ne peut tolérer la moindre menace en son sein.

Les nobles déchus, errant comme des chiens sans maître, conspirent encore dans les bas-fonds.

Les nostalgiques du pouvoir absolu rêvent en secret d’une contre-révolution.

Les anciens privilégiés pleurent leur fortune volée, prêts à tout pour la reprendre.

Nous les traquerons. Nous les éliminerons. Il ne peut y avoir de paix tant que la menace persiste.

]Une République Unie, Une Force Inarrêtable

La Révolution n’est pas isolée. Nos alliés nous soutiennent, conscients que l’avenir appartient aux peuples libres. Les grandes nations ont compris la nécessité du changement et ont embrassé la République comme un modèle à suivre. Ensemble, nous bâtissons un monde où aucun homme ne naît maître d’un autre.

Mais nous devons prouver que nous méritons cette liberté. Une République ne vit pas seulement par les armes, mais par sa force, sa prospérité et son unité.

Le Peuple a Parlé, L’Histoire est Écrite

Il n’y aura ni pardon, ni oubli pour ceux qui veulent ramener l’oppression. Le peuple a goûté à la liberté, et il ne reviendra jamais en arrière.

la République est immortel !

Vive Katrisbourg, vive la Révolution, et vive le peuple libre !